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Accueil du site > Actualités > Santé > Autisme : des facteurs sous estimés, des évidences trompeuses, des causes (...)

Autisme : des facteurs sous estimés, des évidences trompeuses, des causes difficilement avouables

L’autisme est une maladie grave, avec de tragiques perspectives, qui mérite de sérieuses recherches. Le nombre de malades et mille fois supérieur à celui de l’épidémie de polio qui a sévi au cours des années 50, mais elle reçoit cent fois moins d’attention et de capitaux. Il faut espérer que l’accroissement spectaculaire des cas va modifier le laxisme des pouvoirs publics sur ce sujet. Toutefois, il est temps de faire la distinction entre l’autisme classique, qui peut être génétique comme on se plaît à nous le répéter, et l’autisme régressif, qui sévit depuis le milieu des années 80 et qui ne peut être génétique. L’enfant qui se développait normalement commence à régresser à partir de 18 mois. Cette sorte d’autisme bien particulier est cinq fois plus fréquente que l’autisme classique.

Antérieurement à 1943, les cas étaient trop rares pour réaliser que cette maladie existait mais, aux Etats-Unis, les consultations pour des cas d’autisme sont devenues de plus en plus courantes et, entre 1992 et 2002, l’autisme a été multiplié par plus de 12 dans ce pays.

D’après le CDC [Centers for Disease Control and Prevention], les cas d’autisme sont passés de 1 cas sur 10000 naissances au cours des années 1980 à 1 cas sur 166 naissances en 2003.

 

 

 

L’actuelle « épidémie » d’autisme se manifeste dans la plupart des pays du globe, Inde, Argentine, Nicaragua et Chine, où l’on recense actuellement 1.8 million d’autistes.

Ne pouvant nier les chiffres, outre de stupides théories pseudo-scientifiques, on a soutenu qu’avant 1991 on ne tenait pas une comptabilité précise des cas. Or, même si on admet cet argument peu crédible, en 1998 on savait parfaitement bien diagnostiquer cette maladie et, entre cette année là et 2003, les cas ont augmenté de plus de 300%.

Actuellement, six millions d’enfants américains ont été diagnostiqués comme ayant de sérieux désordres mentaux par les instances de santé américaines.

« Si cette épidémie est réellement un artéfact de pauvres diagnostics, où sont à présent les autistes de plus de vingt ans ? », demande le Docteur Boyd Haley, l’un des spécialistes mondiaux de l’autisme.

 

 

 

 

 

 

Les vaccins

 

 

L’idée d’associer autisme et vaccins demeure encore impopulaire, cependant cette idée gagne du terrain. En 1965, aux Etats-Unis, quelques parents avaient déjà constaté l’apparition de l’autisme chez leur enfant après l’injection du triple vaccin Diphtérie-Coqueluche-Tétanos. Lorsqu’un autre triple vaccin, le ROR, fut introduit en 1980 « les rapports alarmants de parents augmentèrent de façon très significative » [cf. Los Angeles Time, 26 avril 2000].

 

 

 

En 1980, autant aux Etats-Unis qu’en France, les enfants n’étaient immunisés que contre 4 maladies alors qu’à présent, ils reçoivent une quarantaine d’injections contre une douzaine de maladies avant qu’ils aient atteint leur seconde année.

 

 

 

Mais les autorités persistent à nier, sans pour autant trouver d’autres causes, que les vaccinations ont un lien avec cette maladie qui a cependant explosé lorsque les vaccinations se sont multipliées. Certains médecins, plus intègres ou plus avertis que d’autres et des milliers de parents d’enfants autistes sont persuadés que de nombreux cas relèvent essentiellement de la vaccination intensive des enfants et particulièrement du vaccin anti-hépatite B ou des vaccins combinés, tel le ROR.

 

 

 

Prtia Iverson, fondatrice et présidente de la CAN [Cure Autism Now Fondation] de Los Angeles, estime qu’environ 50% des parents qui l’appellent signalent que le comportement de leur enfant a changé tout de suite après la vaccination. Ceci est confirmé par le Docteur Bernard Rimland , directeur et fondateur de l’institut de recherche de l’Autisme de San Diego : « c’est une véritable épidémie. Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination, excepté des coïncidences. La vérité est que des enfants sont gravement atteints par les vaccinations ».

 

 

 

Depuis 33 ans, le Docteur Rimland a étudié plus de 30000 cas d’autisme à travers le monde et a découvert qu’avant les années 80, les parents signalaient que l’autisme de leur enfant s’était manifesté au cours de la première année. Mais à partir de cette époque, l’autisme est apparu vers le dix-huitième mois. Rimland a aussi remarqué que les enfants autistes viennent de familles aisées et cultivées qui profitent au maximum des découvertes de la médecine, particulièrement des vaccins. Chez de nombreux enfants, deux régressions successives ont été remarquées. La première se produit très vite après la première vaccination ROR, la seconde, bien plus grave, après le rappel du vaccin vers l’âge de 4 à 5 ans, après une période d’amélioration relative. Ces deux phases de la maladie ont servi de preuves de causalité devant les tribunaux et l’institut de médecine aux Etats-Unis.

 

 

 

Les ingrédients vaccinaux injectés aux bébés contiennent de nombreuses toxines, et jusqu’en 2002, ils contenaient aussi un conservateur [appelé en France Thiomersal] dérivé du mercure mais plus toxique encore. On en trouve encore dans certains vaccins vendus aux Etats-Unis et dans l’Engerix B.

 

 

 

 

« L’évidence que les vaccins sont étroitement liés à l’augmentation de problèmes cérébraux augmente chaque jour, mais les agences gouvernementales ne font rien pour le reconnaître »,

confirme Dan Burton, membre du Congrès, qui signale que 47% des parents qui contactent leurs députés sont certains du lien entre les deux événements.

http://www.autiminfo.com/PowerOfOne/Hearings.htm

 

 

 

Toujours aux Etats-Unis, le Docteur Dave Weldon a demandé d’urgence à l’American Academy of Pediatrics [AAP] d’enquêter sur l’ épidémie d’autisme et sur la question ROR, car les recherches du Docteur Ulmann et de ses collègues ont démontré que sur 91 enfants examinés, tous atteints par cet autisme régressif qui s’était développé très rapidement après le vaccin, 75 d’entre eux, âgés de 12 à 15 mois, présentaient le virus de la rougeole dans leurs intestins.

 

 

 

Dan Olsted, journaliste d’investigation, a entrepris une étude approfondie sur les cas d’autisme. En recherchant des enfants qui n’ont jamais été exposés au mercure vaccinal afin qu’ils servent de « cas contrôle » des expériences. Il étudia la Homefirst Health Services Chicago. Les enfants de cette communauté ne sont jamais vaccinés. Olmsted publia son enquête en décembre 2005.

Le Homefirst Health Services est une association de médecins de la banlieue de Chicago qui accouchent les femmes chez elles, puis suivent les enfants. Le Docteur Mayer Eisenstein, directeur médical, également diplômé en statistiques, en droit et en santé publique, signale :

« depuis des années, nous avons suivi 30 à 35000 enfants dès leur naissance et nous n’avons pas rencontré un seul cas d’autisme parmi ceux qui n’ont jamais reçu de vaccins. Les quelques rares cas d’autisme ont été décelés chez des enfants vaccinés avant que leurs mères ne s’adressent à nous pour leur enfant suivant ».

 

 

 

Ces enfants, qui fréquentent les écoles publiques de l’Illinois, ont permis de faire baisser spectaculairement les moyennes d’auttistes de cet Etat. Le Docteur Paul Schattauer, qui fait partie de Homefirst depuis 20 ans et traite au moins 100 enfants par semaine confirme : « Tout ce que je sais est que dans ma pratique, je ne rencontre pas d’autistes. Nous sommes loin de 1 sur 166 cas officiels dans note pays ». En 1991, on ne trouvait qu’un enfant autiste sur 2500 dans cette région.

 

 

 

 

 

 

Le mercure

 

 

« Il est impossible de trouver une seule étude qui montre l’innocuité du thimerosal » déclare le Docteur Boyd Haley, chef du service de chimie à l’université du Kentucky, qui a publié plus d’une centaine d’articles sur la toxicité du mercure dans les plus prestigieux journaux scientifiques. « Si vous injectez ce produit animal, son cerveau est touché. Si vous l’appliquez sur un tissu vivant, la cellule meurt. Si vous l’introduisez dans une éprouvette, la culture est détruite. Sachant cela, il est impossible de croire que l’on peut l’injecter dans un corps de bébé sans causer de dommage ».

 

 

 

Sur le plan clinique, les manifestations de l’autisme et de l’intoxication mercurielle sont souvent superposables : dégradation de la qualité de la communication, indifférence pour les autres, confusions mentales, peurs irrationnelles, manifestations schizoïdes, désordres obsessionnels compulsifs, trouble de la coordination des mouvements, ainsi que des troubles de l’audition et de la compréhension

 

 

 

En juillet 2000, après avoir analysé plus de 180 publications, un groupe d’étude américain a publié les fruits de son travail de synthèse sur les relations entre autisme et empoisonnement par le mercure [cf. S.Bernard, et al., « Autism : a Novel Form of Mercury Poisoning », in ABC Research, juillet 2000].

 

 

 

En 1998, la FDA déclara que les enfants qui recevainet tous les vaccins recommandés absorbaient 30 à 50 foisd plus de mercure que la dose admise par l’Agence de protection de l’environnement des Etats-Unis.

 

 

 

Mais ce n’est qu’en juillet 1999 que l’académie américaine des pédiatres publia une mise en carde contre les vaccins contenant du thimerosal. La même année, la FDA annonçait qu’un enfant qui recevait un vaccin multiple pouvait être exposé à une dose 100 fois supérieure à celle admise pour un adulte.

 

 

 

Nombre de chercheurs pensent que les fabricants ont deux raisons de s’opposer au retrait total du thimerosal. La première est l’appât du gain. La seconde, la plus importante, est qu’il savent que dès qu’on le retirera le public ne pourra plus ignorer le déclin non seulement de l’autisme mais aussi celui des désordres neurologiques, déficit d’attention, hyperactivité, retard de langage, qui perturbent le système scolaire depuis plus de 15 ans. Ce déclin s’est déjà produit en Californie, qui fut l’un des premiers Etats à bannir ce poison. Or cet Etat à le meilleur système de surveillance de l’autisme des Etats-Unis et il est généralement considéré comme le baromètre du reste du pays. Les experts n’avancent aucune explication pour ce ralentissement des nouveaux cas.

 

 

 

Pour Rick Rollens, ex-secrétaire du sénat de Californie, co-fondateur de FEAT [Families for Early Autism Treatment], le rapport est flagrant entre le retrait du mercure et cette baisse. « Nous pouvons dicuter pendant des heures pour savoir d’où vient l’augmentation, mais la diminution est manifeste depuis le retrait du mercure ».

 

 

 

 

Le Dr Samuel Katz, de la Duke University, ardent promoteur de la politique vaccinale dans son pays, conseiller de la Immunization Action Coalition, avoue prudemment : "il y a de nombreuses données qu’on ignore sur les vaccins", cependant il n’hésite pas à imiter tous ses collègues et à se retrancher derrière le fait que "rien ne prouve la responsabilité des vaccins dans tous les cas d’autisme, de diabète, d’asthme, de sclérose et de mort subite du nourrisson".
Ces déclarations prennent un éclairage nouveau lorsqu’on apprend que le Dr Katz codirige un groupe "d’information" mais surtout de propagande, appelé Vaccine Initiative, qui reçoit des fonds de six fabricants de vaccins, et que la Immunization Action Coalition est sponsorisée par plusieurs laboratoires tels SmithKline Beecham, Merck, Connaugh-Pasteur Mérieux et Wyeth-Lederle. il en va de même pour le Dr Neal Halsey, de l’université John Hopkins, pionnier de la vaccination qui siège, comme Katz, dans les comités de l’ACIP et du Red Book, et qui affirme lui aussi la sécurité du vaccin antiHB.

Une étude de mai 2006, conduite par le Docteur Arthur Krigsman, gastro-entérologue de l’Ecole de Médecine de l’université de New York, impliquant 275 enfants, a démontré de graves inflammations intestinales chez les enfants autistes, identiques à celles qui sont décrites par le Docteur Wakefield et ses collègues il y a huit ans. La biopsie du tissu des intestins de 82 de ces enfants a révélé que 70 d’entre eux (85%) avaient le virus de la rougeole dans leurs intestins. Tous les résultats obtenus montrent qu’il s’agit d’un virus vaccinal et non du virus sauvage de la rougeole.

 

 

 

Les journaux anglais ont largement médiatisé la nouvelle, alors qu’elle a été pratiquement occultée par les médias américains mais aussi, français.

 

 

 

 

Adresses utiles

• Autisme info-accueil
L’association Autisme France a mis en place un numéro azur (prix appel local) qui constitue le cœur d’un réseau destiné aux parents d’autistes et aux professionnels de France, de Belgique et de Suisse romande.
Au 0 810 179 179, le standard Autisme info-accueil répond tous les jours de la semaine, du lundi au vendredi, de 9 h à 13 h.

• Autisme 75, 78, rue des Dessous-des-Berges, 75013 Paris. Tél.-Fax : 01 45 84 29 59.

• Aide à l’enfance autiste, Kerantraon, 29400 Lanneufret. Tél : 02 98 20 81 31.

• Pro Aid Autisme, 42, rue Bénard, 75014 Paris. Tél. : 01 45 41 52 93.

• Fédération française Sésame Autisme, 53, rue Clisson, 75013 Paris. Tél. : 01 44 24 50 00. Fax : 01 53 61 25 63.


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28 réactions à cet article    


  • Passager 120 Mathias 25 mai 2007 14:21

    Merci pour ces infos qui restent souvent bien cachées, tellement elles posent problème au dogme vaccinal.

    La vaccination devrait être du libre choix de chacun. Chaque parents doit pouvoir décider en connaissance de cause des risques et des avantages pour leur bébé d’une vaccination.

    Avant chaque opération chirurgicale le patient est informé des risques... pour les vaccins rien n’est prévu.

    Pour finir, le problème n’est souvent pas le vaccin lui même mais bien les adjuvants (conservateurs) qui sont d’un danger incroyable. Toutes ses matières toxiques sont injectées sous couvert de vaccination... sur des bébés de quelques semaines, de quelques mois...

    Trop d’intérêts financiers sont liés aux vaccins et l’argent compte plus que la réalité.


    • t.ravassant 25 mai 2007 14:36

      Je me souviens d’un excellent article paru dans le « Vrai papier journal » de Karl Zero en 2000 ou 2001 et qui rapportait également la détresse de nombreux parents britanniques d’enfants « rendus » autistes après un début de développement tout à fait normal.

      Il se trouve que mon premier enfant était alors en âge d’être vacciné. Je dois bien avouer que je suis depuis resté très vigilant sur les vaccins administrés à mes enfants.

      Malheureusement, le problème de la vaccination est complexe : il est largement admis que la vaccination systématique constitue un bien à long terme et sur une vaste population, et qu’elle seule permet l’éradication de certaines maladies.

      Les autorités ne peuvent en aucun cas encourager chaque personne à choisir en son âme et conscience si elle souhaite ou non la vaccination puisqu’à ses yeux, tout individu non vacciné représente un danger pour la communauté...


      • Emmanuel 25 mai 2007 14:46

        Merci de soulever cette question qui reste taboue en France.

        On peut aussi signaler la piste gluten/caséine comme un des facteurs probables de l’autisme régressif :

        association Ariane http://filariane.org/

        ainsi que les actes d’une conférence organisée par cette association http://filariane.org/DOC/ACT20021019.PDF


        • jako jako 25 mai 2007 15:19

          SSimon , merci de cet information que j’ignorait totalement. Je dirais juste que c’est stupéfiant , le sang contaminé et la vache folle passent au deuxième rang je pense ( et l’amiante etc...)


          • benedicte_gab 25 mai 2007 16:16

            Je ne suis pas sûre que la vaccination en soi, ne pose pas un problème, parce qu’elle affaiblit globalement les défenses immunitaires du corps et généralisée les défenses immunitaires des générations à venir. Et c’est partir d’un principe faux qui est que l’on peut se prémunir de tout ... or une maladie comme la peste qui faisait des ravages il y a quelques siècles a pourtant quasiment disparue sans vaccination. Des études sur le BCG faites en Inde, ont démontré que sur 2 populations ayant au départ les mêmes conditions sanitaires de vie, la population non vaccinée dont les conditions sanitaires s’étaient significativement améliorées avait vu la tuberculose régresser de manière significative, alors que la population vaccinée sans amélioration des conditions sanitaires continuait à présenter un taux sensiblement égal de tuberculose. La vaccination contre le choléra est totalement inefficace, mais continue à être pratiquée. Mais la vaccination de masse rapporte beaucoup et on joue sur la peur de la maladie et on l’entretien, voire on la crée, comme lors de cette campagne dans les lycées pour la vaccination contre l’hépatithe B, qui a par la suite été abandonnée. Ma fille n’a pas été vaccinée ROR, parce que ce n’était pas obligatoire, son BCG lui a été imposé à l’école, mais n’a pas pris et comme la médecine scolaire est presque démantelé, on ne m’a jamais obligé à le lui faire refaire. Elle a fait naturellement rubéole, rougeole et oreillons. Elle n’a pris que très rarement des antibiotiques et elle n’est pas plus malade que ses camarades, voire moins qu’une partie d’entre eux. Le lobby pharmaceutique est extrêmement important et la désinformation ne joue pas seulement sur les vaccins mais aussi sur les traitements médicaux. Les traitements de la ménopause que l’on fourgue à tour de bras à la majorité des femmes dès les premiers symptômes ont fait l’objet d’études arrêtées et retirées rapidement par les labos, parce qu’entraînant des conséquences alarmantes en terme d’augmentation des cancers du sein, de la maladie d’Alzheimer, des problèmes cardiaques mais ces traitements continuent pourtant à être prescrits massivement. Ce lobbying des labos empêche toute politique de santé publique et mondiale cohérente ... et nous allons en payer le prix en terme de santé individuelle et collective.


            • Hume Hume 25 mai 2007 17:15

              Article interessant qui pose la question de laisser l’interet publique (la sante) a des groupes d’interets economiques (les boites pharmaceutiques).

              Le probleme, c’est les commentaires deviant (et je n’ai pas choisi le mot par hasard...) sur un soi-disant probleme des vaccins.

              Soyons donc precis :

              1) Oui certains vaccins posent peut-etre probleme comme le suggere avec de nombreux arguments serieux l’auteur. Cependant, en faisant un tour sur pubmed, on se rend compte qu’un certain nombre d’etudes ne trouvent pas de liens concrets entre l’autisme et ce vaccin. Cela meriterait donc surement un moratoire sur ce vaccin jusqu’a ce que l’on sache si oui ou non, il est dangereux.

              2) Cela ne vaut pas dire que tous les vaccins sont dangereux et « affaiblissent » le systeme immunitaire. Ceci est un paralogisme dangereux fait avec les antibiotiques. Un vaccin STIMULE le syteme immunitaire, laissant une trace de la maladie ce qui permet a l’organisme de reagir plus vite et de facon plus ciblee et d’eviter de mourir d’un certains nombre de maladies...

              3) Donner le choix de vacciner ou non son enfant ?? Il existe pour un certain nombre de « vaccins de confort » mais pour les autres type DTPolio, ce serait une grave irresponsabilite vis-a-vis des autres enfants, Je crois que nous avons tendance a oublier le taux de mortalite infantile avant l’apparition des vaccins...


              • hozho 25 mai 2007 18:47

                cet article est un tissus de conneries. L’autisme est une maladie génétique. POINT.


                • Avatar 26 mai 2007 15:46

                  A hozho de 18h47,

                  Vous écrivez que l’autisme serait une maladie génétique...

                  Comment expliquez-vous le cas de vrai jumeaux (donc ADN similaire) ou l’un est atteint d’autisme et l’autre non ?


                • hozho 25 mai 2007 18:59

                  Institut Pasteur

                  Une équipe de l’Institut Pasteur vient d’identifier un nouveau gène associé à l’autisme. Le rôle clé de ce gène dans la synthèse de la mélatonine apporte de nouvelles informations sur ce trouble du développement, atteignant les jeunes enfants, et dont l’origine demeure encore très mystérieuse. Ces travaux sont publiés en avant-première sur le site de la revue Molecular Psychiatry.

                  L’autisme est un syndrome complexe, classé parmi les troubles envahissants du développement, qui apparaît avant l’âge de 3 ans. Il est caractérisé par des déficits dans les interactions sociales et la communication, associés à un répertoire de comportements restreints, répétitifs et stéréotypés. Aujourd’hui, un enfant sur 200 serait atteint d’autisme, avec une fréquence quatre fois plus élevée chez les garçons.

                  Depuis plusieurs années, de nombreuses recherches ont été menées pour identifier les gènes associés à l’autisme. En 2003, puis en 2006, deux études menées par le groupe Génétique humaine et fonctions cognitives dirigé par Thomas Bourgeron à l’Institut Pasteur (1) avaient permis d’identifier, chez certaines personnes atteintes d’autisme ou du syndrome d’Asperger (forme moins sévère de l’autisme), des mutations altérant des gènes (NLGN3, NLGN4 et SHANK3) impliqués dans la formation des synapses, zones de communication entre les neurones.

                  Cette équipe de l’Institut Pasteur s’est depuis intéressée à une région particulière des chromosomes X et Y, appelée région pseudo-autosomique 1 (PAR1). Des altérations de cette région avaient été observées chez des personnes avec autisme, mais le ou les gènes en cause n’avaient pas été identifiés.

                  Le groupe de l’Institut Pasteur, en collaboration avec l’Inserm, des services de psychiatrie parisiens (CHU de Créteil et hôpital Robert Debré de l’AP-HP) et du département de psychiatrie de l’université de Göteborg (Suède), a étudié dans cette région PAR1 un gène, appelé ASMT. Ce gène code une protéine de la voie de synthèse de la mélatonine. La mélatonine est produite principalement la nuit par la glande pinéale et joue un rôle important dans la régulation des rythmes biologiques circadiens (nuit/jour), comme les rythmes veille-sommeil.

                  Un taux bas de mélatonine chez les personnes avec autisme avait déjà été rapporté par trois équipes indépendantes, mais la cause du déficit n’était pas connue. Dans ce nouveau travail, les chercheurs ont observé que plus de la moitié des enfants atteints d’autisme avaient des taux bas de mélatonine (moins de la moitié du taux témoin) et que cette faible concentration était corrélée à un déficit de l’enzyme ASMT. De plus, des mutations du gène ASMT qui altèrent l’expression ou la séquence de la protéine ont été identifiées chez certains sujets, démontrant ainsi l’origine génétique du déficit enzymatique chez quelques familles.

                  Les auteurs de ce travail insistent sur le fait que la présence d’un taux bas de mélatonine chez une personne n’est pas obligatoirement associé à l’autisme. "En effet, explique Thomas Bourgeron, plusieurs parents d’enfants atteints d’autisme ont des taux bas de mélatonine sans avoir de troubles autistiques. Ainsi, les conséquences directes de ce déficit en mélatonine restent [à] préciser.

                  Notre hypothèse est que la baisse en mélatonine pourrait avoir un rôle direct sur les réseaux neuronaux et ainsi amplifier l’effet d’autres atteintes génétiques chez l’enfant ou indirectement affecter les rythmes veille-sommeil rendant les enfants atteints plus vulnérables à d’autres facteurs de sensibilité".

                  Les troubles du sommeil sont très fréquents chez les personnes avec autisme et deux études récentes montrent que l’utilisation de la mélatonine semble améliorer le sommeil des enfants. Ces études, qui ont testé l’efficacité de la mélatonine dans l’autisme, ne concernent malheureusement qu’un nombre restreint d’enfants et nécessitent d’être approfondies afin de mieux évaluer l’efficacité de la mélatonine sur l’amélioration du sommeil et des autres troubles présents chez les personnes atteintes comme les troubles du langage et de la communication sociale.

                  Plus que jamais, la recherche des gènes associés à l’autisme nécessite la collaboration des familles pour mieux poursuivre ces nouvelles pistes d’étude et préciser les origines de ces troubles complexes.

                  © News Press 2007


                  • hozho 25 mai 2007 19:00

                    ST. LOUIS, May 14 (UPI) — U.S. scientists using a statistical approach have discovered regions of DNA that appear to be linked with autistic spectrum disorders.

                    The researchers at the Washington University School of Medicine in St. Louis and the University of California-Los Angeles identified two regions of DNA linked with autism. They found the suspicious DNA with a much smaller sample of people than has been used traditionally in searches for autism genes.

                    Co-principal investigator Dr. John Constantino of Washington University said past research has isolated a few regions of DNA linked to autism, but very few of those studies have been replicated, so no specific autism genes have yet been identified.

                    « Those older studies used what’s called an ’affected sib pair’ design that looks for genetic markers in siblings with autism, » said Constantino. « That approach has worked well for single-gene disorders, but autism is a complex disease that may involve many genes that each make very small contributions. When that’s the case, it’s harder to find genetic markers. »

                    Constantino and co-principal investigator Dr. Daniel Geschwind of UCLA detail their study in the April issue of the American Journal of Psychiatry.

                    Copyright 2007 by United Press International. All Rights Reserved.


                  • karg se 25 mai 2007 19:24

                    Co-principal investigator Dr. John Constantino of Washington University said past research has isolated a few regions of DNA linked to autism, but very few of those studies have been replicated, so no specific autism genes have yet been identified.

                    Je traduit quand même, tous le monde ne parle pas anglais :

                    Dr John Constanto de l’Université de Washington à déclaré que les recherché passé ont isolés des régions de l’ADN lié à l’autisme, mais très peut de ces études ont été répliqué, et aucun gène spécifique à l’autisme n’a été indentifié.

                    En gros l’autisme génétique, on est loin d’en être sur.

                    Merci pour l’auteur d’avoir fais un article intelligent et documenté, quand on parle de vaccin on craint toujours de tomber dans le n’importe quoi. Je suis pour la vaccination systématique mais aussi pour que les fabriquant n’ai pas le droit d’utiliser des produits dangereux dans leur formulation.


                  • ffi ffi 2 avril 2009 03:12

                    Mais les enfants sur lesquels a été fait l’étude génétique avaient-ils été vaccinés ?

                    Parce que je cite :

                    Dans ce nouveau travail, les chercheurs ont observé que plus de la moitié des enfants atteints d’autisme avaient des taux bas de mélatonine (moins de la moitié du taux témoin) et que cette faible concentration était corrélée à un déficit de l’enzyme ASMT. De plus, des mutations du gène ASMT qui altèrent l’expression ou la séquence de la protéine ont été identifiées chez certains sujets, démontrant ainsi l’origine génétique du déficit enzymatique chez quelques familles.

                    Les auteurs de ce travail insistent sur le fait que la présence d’un taux bas de mélatonine chez une personne n’est pas obligatoirement associé à l’autisme. "En effet, explique Thomas Bourgeron, plusieurs parents d’enfants atteints d’autisme ont des taux bas de mélatonine sans avoir de troubles autistiques. Ainsi, les conséquences directes de ce déficit en mélatonine restent [à] préciser.

                    Notre hypothèse est que la baisse en mélatonine pourrait avoir un rôle direct sur les réseaux neuronaux et ainsi amplifier l’effet d’autres atteintes génétiques chez l’enfant ou indirectement affecter les rythmes veille-sommeil rendant les enfants atteints plus vulnérables à d’autres facteurs de sensibilité".

                    C’est bien flou en vérité.
                    De genre, je ne suis pas d’accord, parce que nous faisons une autre hypothèse, qui n’est pas sure.
                    Quant à vous, vous devez prouvez que votre hypothèse est vraie ! Mais nous ne ferons pas les recherches, puisque nous faisons une autre hypothèse.

                    Déclarer comprendre par la génétique le fonctionnement humain, tout en ayant besoin de passer par la statistique, c’est fumeux. La vérité, ce n’est pas à 50% vrai, mais 100%. La génétique, c’est un bricolage statistique guère plus valide que les chiffres du chômage.

                    Si c’était génétique, pourquoi y aurait-il une augmentation des taux d’autismes ? Ne devrait-il pas être constant dans ce cas ? Pourquoi la jeunesse d’aujourd’hui est-elle plus frappée que celle d’hier ?

                    Euh, d’ailleurs l’institut Pasteur ne produirait-il pas des vaccins par hasard ? Peut-on être juge et partie ?

                    Tout ces raisonnements foireux sont destinés à blanchir les vaccinologues et à salir les parents victimes de leurs actes odieux.


                  • hozho 25 mai 2007 19:14

                    Par Destination Santé

                    En 1998, The Lancet publiait une étude incriminant le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) dans la survenue d’autisme et de rectocolites hémorragiques chez des petits Britanniques. Un scandale qui a défrayé la chronique. En fait tout cela n’était qu’une opération orchestrée, avec avocats marrons et chercheurs corrompus. Explications.

                    Depuis 25 ans, l’efficacité du vaccin ROR est établie par des dizaines d’études internationales. Diffusé dans le monde entier, il est administré sans problème à des dizaines de millions d’enfants. Mais en février 1998 donc, la publication par The Lancet de ce travail fait l’effet d’un coup de théâtre. Le vaccin provoquerait dans certains cas, un autisme ou une rectocolite hémorragique.

                    Le Dr Andrew Wakefield, du Royal Free Hospital dans le nord de Londres, sème le trouble. Comment un vaccin aussi répandu que le ROR aurait-il pu avoir un tel vice caché, qui échappe à tous pendant des années ? La réponse à cette équation « impossible » est aujourd’hui connue grâce à une investigation menée par Brian Deer, journaliste aux Dépêches britanniques et au Sunday Times de Londres : il s’agissait ni plus ni moins d’une manipulation de données par des chercheurs corrompus, le tout organisé en sous-main par un cabinet d’avocats pour soutenir une juteuse class action contre le fabricant du vaccin.

                    Plusieurs des enfants au coeur de l’étude Wakefield participaient en fait, parallèlement et de façon occulte, à une autre étude visant à établir les bases d’une action en justice contre le fabricant. Wakefield était rémunéré plus de 79 000 euros pour cette autre recherche. Peccadille pourtant : au total, le chercheur et son équipe ont empoché pas moins de 664 660 euros dans ce tour de passe-passe, le total des émoluments versés à des médecins dépassant 5 millions d’euros.

                    Encore cela ne représente-t-il que la partie émergée de l’iceberg, puisqu’au bout du compte cette affaire a coûté... plus de 24 millions d’euros en frais de recherches et de justice. Donc 12 millions pour le cabinet de l’avocat Richard Barr. Le tout réglé par les contribuables de Sa Majesté, la class action en question étant assumée au titre de la Legal Services Commission, en d’autres termes l’aide juridictionnelle.

                    Le bon Dr Wakefield s’est depuis installé à Austin, la capitale du Texas. Mais le scandale le rattrape et en juillet de cette année, il devrait répondre de ses agissements devant la justice britannique...

                    Entre-temps, The Lancet s’en est publiquement désolidarisé en publiant en mars 2004 un éditorial de rétractation... partielle. Un éditorial discret, qui n’a pas fait de bruit. Mais le mal, lui, était fait. Entre 1998 et 2003 et en dépit de démentis formels du gouvernement britannique, le nombre d’enfants vaccinés au Royaume-Uni a sensiblement diminué. La couverture vaccinale est ainsi passée de 92% à 78,9%, un chiffre très insuffisant pour empêcher la circulation des virus au sein de la population.

                    Résultat pour la première fois depuis 14 ans, un petit sujet de Sa Majesté est mort en mars 2006, victime de la rougeole... et de la rumeur persistante !

                    Les rumeurs peuvent tuer...

                    Cette dernière, qui renaît régulièrement chez nos voisins anglais, fait étrangement penser à la controverse franco-française sur le vaccin contre l’hépatite B. Un vaccin accusé d’avoir provoqué - et cela uniquement en France...- des poussées de sclérose en plaques. Et rien n’y fait. Même les récentes conclusions de la Commission nationale de pharmacovigilance n’éteignent pas cette rumeur.

                    Or elles sont formelles : « Depuis décembre 1994 jusqu’à septembre 2005, les (...)données de pharmacovigilance (...) n’ont pas permis de confirmer le rôle du vaccin (dans les poussées de sclérose en plaques) ». Onze études épidémiologiques ont déjà été réalisées, dont 5 à l’initiative de l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS). « Aucune n’a pu établir d’association significative entre la vaccination contre le VHB et la survenue d’affections démyélisantes, à l’exception d’une étude cas-témoins américaine ».

                    Il n’en reste pas moins que Bernard Kouchner, ministre de la santé, renoncera au maintien de l’obligation vaccinale contre l’hépatite B pour les enfants. Cette décision sera sévèrement critiquée par l’OMS qui mettra en garde ses Etats-membres contre la contagion du mauvais exemple français. En butte selon les termes de l’Organisation, à « des pressions énormes exercées par des associations hostiles à la vaccination », notre pays est le seul aujourd’hui dans le monde développé à ne pas protéger ses enfants contre un cancer évitable, celui du foie.

                    La communauté scientifique unanime assure que la France fait erreur. Des rapports circonstanciés - des autorités françaises comme de l’OMS - dénoncent là encore les biais de la seule étude qui, envers et contre toutes les autres, accable le vaccin. Et si, comme dans le cas du ROR au Royaume-Uni, ce n’était pas une erreur... ?

                    Source : The Sunday Times, 31 décembre 2006, MMR & autism investigation, AFSSaPS, 28 novembre 2006, OMS, novembre 2002, Legal Services Commission, 22 décembre 2006


                    • hozho 25 mai 2007 19:16

                      Juste une chose, pour finir : L’autisme touche beaucoup plus les garçons que les filles, est-ce à dire qu’elles sont moins vaccinées ?


                    • karg se 25 mai 2007 19:27

                      Parfois selon le sexe les réactions sont différentes, la physiologie est un peu différente et en général les hommes sont plus sensible à ce genre de chose, il nous manque un bout de chromosome quand même smiley


                    • Caveman Caveman 25 mai 2007 20:46

                      par hozho (IP:xxx.x1.198.122) le 25 mai 2007 à 18H47 cet article est un tissus de conneries. L’autisme est une maladie génétique. POINT.

                      - Si vous aviez lu l’article, Sylvie SIMON parle de 2 types d’autisme et à propos de celui qui ne serait pas génétique, nous n’entendons aucune voie s’élever sauf des jugements à l’emporte pièce comme vous le faites. Mais il est vrai aussi que les conneries « sont issues » de l’ignorance !


                      • Ao 25 mai 2007 20:46

                        Moi je suis perplexe devant cet article et les commentaires de hozho : 

                        En lisant l’article je n’ai pas l’impression que les liens entre vaccin et autisme sont vraiment avérés, il s’agirait plutôt de fortes présomptions.

                        Or l’administration d’un vaccin est un acte médical, pratiqué à très grande échelle partout dans le monde. La composition de chaque marque de produit est connue.
                        Les conditions sont idéales pour faire une étude complètement décisive : On peut observer de grandes populations soumises à des régimes de vaccination différents, en s’appuyant sur les structures médicales qui prescrivent et pratiquent ces actes pour effectuer le suivi dans le temps.

                        Dans ces conditions, si on n’arrive pas trouver une corrélation inconstestable, c’est à désespérer.

                        En ce qui concerne la réaction de hozho :

                        c’est très bien documenté, mais en lisant les différentes références citées, il me semble que la conclusion serait : certaines mutations génétiques sont liées à l’occurence de la maladie. Les mécanismes en jeu étant apparemment complètement inconnus.

                        Cela ne veut pas dire que les vaccins n’ont pas d’impact. C’est peut être l’association des deux (vaccin + mutation) et peut être d’autres facteurs encore qui cause la maladie...

                        Dans ces conditions, jusqu’à plus ample informé, l’expression « tissu de connerie » me semble un peu exagérée.

                         


                         

                         



                        • hozho 25 mai 2007 23:30

                          les pistes vont plutot vers une correlation entre pollution et genetique. Le foie enverrait de « mauvaises » informations au cerveau pendant le tout début de la grossesse. Tout cela est encore bien ténu. Il y a plusieurs équipes qui bossent la dessus en ce moment, mondialement, car on note une prévalence de l’autisme depuis quelques années, grace en particulier aux « techniques » de detection qui font de gros progrés.Il n’y a pas « plus d’autistes », mais ils sont de mieux en mieux detectés et + tôt. En particulier l’autisme de « haut niveau » (Syndrome d’Asperger) et les troubles envahissants du comportement. L’autisme « regressif » n’existe pas, il n’est pas documenté médicalement ou scientifiquement(relisez le DSM IV)c’est une invention d’une secte qui se sert de la detresse des parents d’enfants autistes pour recruter. Un autiste livré à lui meme ne « devient rien ». Un autiste prit en charge correctement evolu positivement et favorablement.Il faut beaucoup de travail sur la stimulation.Donc des encadrants, bien formés et bien payés : Orthophonistes, psycho-motriciens, auxiliaires de vie, etc...

                          Plusieurs technique comme TEACH ou ABBA sont maintenant bien maitrisées, au grand désespoir des psyk qui ne peuvent plus profiter comme avant de la misère et de l’ignorance des parents pour enfermer enfants et adultes dans des centres psychiatriques, grassement remunérés par la sécu. La est le vrai scandale en France (et ailleurs) ; la déplorable nullité de la prise en charge des autistes et les difficultés à les scolariser ou les sociabiliser tout simplement.

                          Comparons nous au Canada, Belgique ou aux USA pour exemple. Ils ont 20 ans d’avance sur nous pour la prise en charge de leurs autistes.

                          En France, nous sommes encore, à quelques merveilleuses exceptions prés,(Merci Madame Bernadette Rogé), au moyen age.


                        • Laurent Marsan 25 mai 2007 22:47

                          Encore un peu de lecture (Fombonne & al, « Pervasive Developmental Disorders in Montreal », Pediatrics 2006) : http://pediatrics.aappublications.org/cgi/content/full/118/1/e139 Conclusion : pas de lien entre autisme régressif et exposition au mercure. Ou en tout cas pas de lien aussi simple...


                          • Alajuela Alajuela 26 mai 2007 00:11

                            Difficile de se faire un avis ! Je ne suis pas spécialiste mais j’ai lu pas mal autour de la question des vaccins (des « pour » et des « contre »). Je n’arrive toujours pas à avoir un avis clair. Autant, quand j’ai voulu me documenter sur les risques dûs aux ondes électromagnétiques (tél portables, ondes relais, etc...) il m’a semblé évident que oui, il y avait bien des risques car on retrouve une sorte de consensus sur la question. Autant pour les vaccins, je ne sais pas si les bénéfices de la vaccinations sont supérieurs ou inférieurs à leurs éventuels effets secondaires nocifs.

                            A la lecture de l’article, effectivement je suis assez convaincue par la thèse de l’auteur. Cependant, l’auteur parle « d’augmentation spectaculaire des cas » et que « D’après le CDC [Centers for Disease Control and Prevention], les cas d’autisme sont passés de 1 cas sur 10000 naissances au cours des années 1980 à 1 cas sur 166 naissances en 2003 ». Personnellement, à mon petit niveau, je n’ai rien remarqué et ne connais aucun cas « d’autisme régressif ». De plus, les commentaires d’Hozho me semblent également très bien documentés !

                            Je ne me sens donc pas plus avancée sur la question, finallement, c’est un peu frustrant. smiley


                            • julo 26 mai 2007 15:35

                              « L’évidence que les vaccins sont étroitement liés à l’augmentation de problèmes cérébraux augmente chaque jour, mais les agences gouvernementales ne font rien pour le reconnaître »,

                              Je suis scandalisé par le niveau faible en anglais : depuis le lycée on apprend qu’evidence est un faux ami qui signifie preuve, on dit obviousness pour évidence.

                              La phrase à lire est sûrement : la preuve que les vaccins ... se renforce chaque jour ...

                              Je ne jette la pierre qu’au système éducatif français, car même le monde titra à propos de l’entrée en guerre des US contre l’Irak que collin powell avait présentée des évidences de la présence d’armes de destruction massive, et personne n’a jamais relevé.

                              Pour moi cette erreur de débutant qui n’est jamais corrigée est la preuve la plus criante du niveau d’inculture moyen. Celui qui ne comprend pas les mots, ne peux pas comprendre les idées. Et quand dans un tissu sociale l’erreur est non seulement faite, mais jamais corrigée, ça en dit long sur le niveau moyen. D’autant que le sens de la phrase en utilisant le mot évidence est creux (ce qui aurait du faire ding dans la tête du traducteur et des lecteurs).

                              Je comprend pas comment une telle erreur peut passer.


                              • kristin66 27 mai 2007 01:06

                                J’ai lu l’article de Wakefield, que je n’arrive malheureusement pas à retrouver. J’ai ressenti à la lecture de cet article du Lancet, des observations d’un médecin zélé, sans aucune validations statistiques. Cet article a été dementi à plusieurs reprises, ultérieurement.

                                Pour hozho : je ne serais pas si catégorique sur la vaccination contre l’hépatite B et sa relation avec la SEP. Je pense que nous n’avons pas le recul suffisant. La SEP est une maladie d’adulte, qui se déclare à partir de 20-25 ans. Il faudrat donc encore attendre une petite dizaine d’années, avant de savoir si les enfants vaccinés durant la campagne de 1995, seront atteints de SEP ou autres maladies autoimmunes. Nous devrions commencer à voir les effets de cette vaccination, s’ils existent, sur les adolescents vaccinés vers 1995. Une explication biologique existe sur la relation entre SEP et vaccination contre l’hépatite B.


                                • Luc 27 mai 2007 01:07

                                  Précision importante : l’autisme n’est pas une maladie, c’est un handicap (pas de guérison). C’est une précision importante pour ce qui concerne la prise en charge de l’enfant. Même si il faut bien reconnaitre qu’en France, les parents d’enfants autistes sont laissés à l’abandon (insuffisance de structures d’accueil adaptées). Quand les enfants deviennent adultes, la situation est encore plus dramatique. C’est un des scandales français...


                                  • chmoll chmoll 27 mai 2007 09:52

                                    tant qu’j’y suis ,lé où l’pognon du téléthon ramassé tous les ans ?


                                    • Richard rigolay 27 mai 2007 21:23

                                      Bravo et merci à l’auteur de cet article.

                                      J’encourage les personnes intéressées à lire le livre de Michel Georget, prof. de biologie à la retraite, « Vaccinations . Les vérités indésirables », Editions Dangles , isbn 2703305079


                                      • rod 31 mai 2007 22:45

                                        C’est assez intéressant de lire cet article et de voir les réponses des gens...

                                        - Il y a quelques temps j’ai pu assister à une conférence sur l’autisme : le conférencier (un psychiatre (j’ai oublié son nom désolé)) déclarait de manière claire que l’autisme n’est pas d’origine génétique...

                                        - Second point important, est défini comme autiste une personne présentant certains nombre de troubles psychologiques (décrits dans le DSM 4). Mais attention ces troubles sont nombreux et variés, autrement dit peuvent être déclarés comme autistes des gens totallement différents à l’inverse par exemple de la trisomie 21.

                                        - Dernier point, selon ce psychiatre, l’autisme n’est pas une maladie mais plus un « état différent », en effet nombre de ces sujets autistes semblent être plus habiles que nous sujets dits normaux pour résoudre un nombre élevé de tests cognitifs...

                                        Je ne suis pas très emballé par ce point de vue mais je pense que vous le trouverez interessant...


                                        • rod 31 mai 2007 22:53

                                          Concernant la vaccination, même si elle est suivie d’effets secondaires dans la population cela n’est pas forcément un problème (du moins à court terme) pour les médecins...le tout étant de considérer le taux de mortalité avant et après vaccination...

                                          @ Bénédicte sur la vaccination : ton point de vue est ...., la peste a emporté plusieurs millions de personnes, une vaccination aurait diminué son impact (c’est l’effet d’un vaccin).

                                          Je ne suis pas sûre que la vaccination en soi, ne pose pas un problème, parce qu’elle affaiblit globalement les défenses immunitaires du corps et généralisée les défenses immunitaires des générations à venir.

                                          D’ou sors-tu cet amas de bêtises et de contre vérité ? Pour ta culture générale : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vaccin


                                        • clau 8 août 2007 12:48

                                          en réponse à Hozho qui a relayé le 25/05/07 un article paru dans le Sunday Times :

                                          Que des vaccins puissent se révéler dangereux pour les bébés est une idée vraiment choquante, que j’ai mis moi-même plus de dix ans à accepter. On est en droit de se méfier de tous ses représentants de commerce déguisés en blouse blanche, de tous ces experts soi-disant indépendants qui nous veulent du bien. John Le Carré, pour l’écriture de son livre « la constance du jardinier », a enquêté sur les firmes médico-pharmaceutiques et leurs agissements criminels dans le tiers monde. Il a déclaré que c’était, et de loin, le milieu le plus fourbe, hypocrite et cynique qu’il est jamais connu.

                                          Pour revenir à l’article du Sunday Times, je citerai plusieurs extraits qui me paraissent relever de la désinformation typique des marchands de vaccins. « Le professeur Wakefield serait un chercheur corrompu… 64 000 euros empochés… » Le premier qui dit la vérité…En s’attaquant aux vaccins ROR, Le Dr Wakefield devait bien s’attendre à être ridiculisé, calomnié, à avoir sa carrière compromise. Il a du démissionner de son groupe de recherche à Londres, les compagnies pharmaceutiques ont tout fait pour l’empêcher de mener son travail, pour faire taire les parents d’enfants malades. Malgré tout 2000 familles ont déjà porté plainte, évidemment ça coûte cher en frais de recherches et de justice ! Aux Etats Unis, l’autisme a augmenté de façon dramatique, 12 fois plus de cas en 10 ans, cette maladie touche maintenant un enfant sur 160 ! Et pourquoi n’y a-t-il pas de cas d’autisme dans les communautés refusant les vaccinations ? Il est grand temps que la justice intervienne pour que les victimes et le Dr Wakefield soient enfin entendus.

                                          Autres mensonges relevés dans l’article : « Depuis 25 ans l’efficacité du ROR est établie…il est administré sans problème à des dizaines de milliers d’enfants.. » la vaccination ROR est un échec, les épidémies de rougeole sont en recrudescence dans les pays développés à forte couverture vaccinale, et la maladie touche maintenant essentiellement des adolescents ou jeunes adultes, pourtant vaccinés, avec des formes plus graves et une augmentation de la mortalité. Au Japon le ministre de la Santé a demandé l’arrêt de la vaccination après avoir reconnu un accident sur 1300 vaccinés. Le ministre allemand de la santé déclare en 1975 à propos du vaccin contre la rougeole : « l’efficacité médicale n’est pas prouvée tandis que sa toxicité est démontrée ». En France on continue à vacciner à grand renfort de publicité. De temps en temps on remplace un vaccin douteux par un autre plus sûr. – Ah ? parce que celui d’avant il était moins sûr ? – Non, il était sûr, mais le nouveau il est encore plus sûr ! On connaissait déjà la lessive qui lave plus blanc que blanc, on a maintenant la vaccin qui vaccine plus sûr que sûr.

                                          Autres arguments douteux : « Pour la 1ère fois depuis 14 ans, un petit anglais est mort de la rougeole » Pas très scientifique comme discours. Et combien de victimes du vaccin en 14 ans ? Aux USA en 3 ans (de 1999 à 2002) on reconnaît officiellement 110 décès liés au vaccin ROR chez les moins de 6 ans, sachant que les accidents réels sont au moins 30 fois plus nombreux que les accidents déclarés, sans compter également les effets secondaires graves ou maladies chroniques se déclarant parfois des années après la vaccination, et dont il est bien difficile de prouver l’origine.

                                          Et on enchaîne sur le vaccin contre l’hépatite B : « accusé d’avoir provoqué –et cela uniquement en France- des poussées de scléroses en plaques » La spécificité française c’est plutôt cela : Toujours aux USA chez les moins de 6 ans, officiellement 642 décès en 3 ans suite au vaccin HB. En France officiellement pas d’accident pour les moins de 6 ans. Mais d’après un rapport de la Direction Générale de la Santé du 15 février 2002, ce vaccin aurait produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 ».

                                          Et l’on finit sur un vibrant appel à protéger les bébés contre un risque inexistant : « Notre pays est le seul, dans le monde développé, à ne pas protéger ses enfants contre un cancer évitable, celui du foie » Toujours la même recette : faire peur, culpabiliser les parents. Exagérer les risques de maladies et nier les accidents post-vaccinaux. La moitié des généralistes est hostile aux vaccinations HB des bébés, sachant qu’ils ne courent aucun danger de contamination. Comme pour le sida, l’hépatite B concerne surtout une population à risque, comme lui, il se transmet par les relations sexuelles et le sang (piqûre et transfusion). La France est l’un des pays les moins touchés, l’hépatite B y est en régression constante depuis 1978, surtout depuis 1986 avec les mesures prises pour contrer le sida : distribution de seringues pour les drogués et arrêt des contaminations par le sang chez les transfusés, emploi du préservatif.

                                          En définitive, en ce qui concerne les vaccinations, il ne s’agit pas de choisir entre la peste ou le choléra mais de rechercher une information réellement objective et indépendante.

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